Synopia a le plaisir de vous présenter sa 24ème note consacrée au reporting CSRD !
Dans un paysage économique en constante mutation, les entreprises font face à une pression croissante pour rendre compte de leur impact social, environnemental et sociétal. Le reporting extra-financier, qu’il découle d’une démarche volontaire ou de normes imposées, soulève des questions cruciales quant à la véritable portée de ces démarches, leur sens et leur impact sur la société. Cet enjeu de reporting devient d’autant plus important sous l’effet des obligations européennes avec la mise en oeuvre au 1er janvier 2024 de la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive).
Si cet exercice de reporting n’est pas en soi une nouveauté pour plusieurs milliers de grandes entreprises européennes, il comporte des obligations nouvelles et concerne désormais toutes les entreprises de plus de 250 salariés et même les PME de façon indirecte.
Aussi utile et bienvenue soit-elle, la CSRD, par sa complexité et son calendrier de déploiement, ne sera pas sans conséquences humaines, financières, organisationnelles sur les entreprises, surtout les plus petites.
Dans cette note, Patrick Viallanex, membre de Synopia et associé chez A2 Consulting, explique en détail les enjeux de la CSRD et son de application avant revenir sur les forces, les insuffisances et les faiblesses de cette nouvelle approche normative européenne.
L’analyse ainsi réalisée montre que pour dépasser le cadre a priori réducteur, partiel et statique de la CSRD, il convient de transformer l’obligation de « reporting » en véritable démarche de « pilotage dynamique » et de consolider le dispositif européen en l’enrichissant des actions caractéristiques de l’entreprise engagée, redevable et solidaire vis-à-vis de toutes ses parties-prenantes.
C’est peut-être comme cela qu’il sera possible de donner le sens indispensable au reporting de la CSRD !